Animation d’un lancement de livre

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J’ai enfin eu la chance de relancer la balle à un collègue écrivain il y a quelques semaines, lorsque l’auteur Gabriel Osson m’a demandé d’animer le lancement de son tout récent récit J’ai marché sur les étoiles. Gabriel m’avait rendu le même service lors du lancement de mon recueil de nouvelles Ce que l’on divulgue au Salon du livre de Toronto de 2013.

Ainsi, Gabriel et moi avons discuté et lu des extraits de son livre, qui raconte son trajet de Compostelle, lors du lancement. Le public a également eu la chance de poser des questions et d’acheter des exemplaires dédicacés de l’ouvrage. Un bel événement dans lequel je suis heureuse d’avoir pris part. Félicitations, Gabriel!

 

Zut, je ne suis toujours pas millionnaire

Lors de la table-ronde / du panel sur l’auto-publication dans le cadre du Salon du livre de Toronto 2015, j’ai eu la chance de discuter avec Julia Nethersole, de Kobo Writing Life, et avec Stéphane Cormier, des Éditions Prise de parole, des différentes façons de publier son livre de nos jours. Plutôt qu’un débat sur la publication traditionnelle versus l’auto-publication, le panel se voulait une conversation présentant les méthodes disponibles aux auteurs et les pratiques exemplaires pour arriver à la publication et la distribution au public.

Peu importe la voie choisie, il nous a fallu souligner que l’écriture comme métier mène rarement aux gros cachets à six zéros ou plus, comme le précise cet article de l’Express de Toronto:

AUTO-PUBLICATION: PAS ENCORE DE MILLIONNAIRES EN ONTARIO FRANÇAIS

Salon du livre de Toronto 2015

LIVRES

Par François Bergeron – Semaine du 8 décembre au 14 décembre 2015

Auto-publication: pas encore de millionnaires en Ontario français

Paul Savoie, Arianne Matte [A.M. Matte], Julia Nethersole, Stéphane Cormier.

Je confirme que je ne me suis pas lancée dans l’écriture pour l’argent. (Cela dit, l’art rémunéré ne fait pas de tort non plus.)

Lisez l’article complet ici.

Salon du livre de Toronto 2015

C’est avec grand plaisir que je serai sur place pour des sessions de dédicaces et pour égayer la programmation du Salon du livre de Toronto cette fin de semaine :
 
Panel sur le roman à l’ère numérique, le samedi 5 décembre, de 11h30 à 12h15, au Café des littéraires.
 
Sessions de dédicaces, au stand de l’AAOF
 
Vendredi 4 décembre
19 h – 20 h: A.M. Matte
Samedi 5 décembre
10 h – 11 h: A.M. Matte
 
Salon du livre de Toronto
Le Salon du livre de Toronto,
aura lieu du 2 au 5 décembre
à la Bibliothèque de référence,
789, rue Yonge
Salon Bram & Bluma Appel, 2e étage
 
Le temps des Fêtes approche à grands pas et vous cherchez encore des idées de cadeau? Visitez le Salon du livre de Toronto! Vous y trouverez le cadeau parfait parmi des milliers de livres merveilleux : livres jeunesse, bandes dessinées, romans historiques, polars, guides pratiques, romans, nouvelles…
 
Situé en plein centre de Toronto, dans la Bibliothèque de référence, au 789, rue Yonge, le Salon du livre promet, du 2 au 5 décembre, des rencontres avec des dizaines d’auteurs, des tables rondes, des conférences, des animations, des ateliers et, en première, un stand numérique.
www.salondulivredetoronto.ca/

Journée mondiale du livre et du droit d’auteur

En cette Journée mondiale du livre et du droit d’auteur, je partage avec vous la discussion que j’ai eue avec Denise Truax des Éditions Prise de parole au sujet de la lecture, du monde de l’édition, du droit d’auteur et du rôle d’Internet dans la question. Nous voici à l’antenne de l’émission Grands Lacs café de Radio-Canada: http://www.radio-canada.ca/util/postier/suggerer-go.asp?nID=1181258 

Je vous invite aussi à lire le billet que j’ai écrit l’an dernier au sujet de la JMLDA.

Un lancement réussi pour Ce que l’on divulgue

Le 7 décembre, je lançais mon recueil de nouvelles, Ce que l’on divulgue, au Salon du livre de Toronto.

Devant un public d’une vingtaine de personnes et accompagnée de l’auteur et animateur Gabriel Osson, j’ai discuté de ce qui a inspiré le livre, du processus que j’ai suivi pour le créer, et de projets futurs. J’ai ensuite lu un extrait de la nouvelle À l’air, qui conclut le recueil avec une aventure cocasse d’une sexagénaire libérée.

Je tiens à remercier les organisateurs du Salon qui m’ont si généreusement accueillie, Gabriel pour l’animation du lancement, Barbara-Audrey Bergeron pour la photographie et le public venu m’appuyer. Vos voeux chaleureux m’ont beaucoup encouragée.

Image rétroéclairée d'A.M. Matte en entrevue avec Gabriel Osson.
A.M. Matte en entrevue avec Gabriel Osson lors du lancement de Ce que l’on divulgue au Salon du livre de Toronto.
A.M. Matte, assise sur une scène à gauche de l'image, parle de ce qui a inspiré les nouvelles de Ce que l'on divulgue devant public au Salon du livre de Toronto.
A.M. Matte parle de ce qui a inspiré les nouvelles de Ce que l’on divulgue devant public au Salon du livre de Toronto.
A.M. Matte dédicaçant un exemplaire de Ce que l'on divulgue, à la couverture blanche, rouge et violet.
A.M. Matte dédicaçant un exemplaire de Ce que l’on divulgue.

Journée mondiale du livre et du droit d’auteur

Aujourd’hui, c’est la Journée mondiale du livre et du droit d’auteur et, il faut me pardonner, bien qu’elle existe depuis 18 ans, c’est la première année que j’en entends parler (merci, Twitter).

Pourtant, une célébration du livre, de la lecture et de l’importance des droits d’auteur aurait dû être à mon radar.

Écrire est un acte solitaire. Bien que les réseaux s’étendent avec Twitter, Facebook, Pinterest et les autres, bien que l’on puisse être branché et en contact avec autrui alors que l’on pitonne son dernier chef-d’oeuvre à l’ordinateur, chaque écrivain travaille seul.

Ainsi, il est possible que, lorsque vient le temps de partager son oeuvre, l’écrivain – ou, parfois même plus, le lecteur – n’y voit que le produit final et non pas les heures et les années mises à le créer.

Trop souvent, l’on peut croire que les droits d’auteur ne sont qu’ « un extra qui est payé à un créateur quand on achète son œuvre ». Oh que non; c’est son revenu! Le lecteur, plutôt que de se lamenter du prix d’un livre, devrait s’étonner qu’il ne coûte que 19,95 $ (ou, pour la version électronique, 6,99 $).*

En tant que lectrice, je souffre de cette maladie. « Hein, ils demandent combien pour ce livre?! » En tant qu’auteur, je dois me souvenir qu’il y a des lecteurs comme moi lorsque je colporte mon écriture. (C’est aussi pourquoi mes écrits en ligne sont, jusqu’à présent, accessibles gratuitement…)

Peu importe son rôle dans le monde littéraire: consommateur, créateur, fournisseur, il est important de souligner ces journées spéciales consacrées à cet art. J’ai peut-être manqué de célébrer pendant 17 ans, mais à partir d’aujourd’hui, il n’y aura plus d’excuses. Bonne Journée mondiale du livre et du droit d’auteur!

 

* Si jamais un lecteur assidu cherche de la lecture à bon marché, il y toujours, évidemment, les bibliothèques. Ne vous inquiétez pas; les auteurs sont compensés. Le Conseil des arts du Canada verse des paiements annuels aux auteurs canadiens dans le cadre de son Programme du droit de prêt public, à titre de compensations pour l’accès public gratuit à leurs livres dans les bibliothèques publiques du Canada.

Table-ronde au Salon du livre de Toronto 2012

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Karine Boucquillon, Sonia Lamontagne, Daniel Groleau Landry et A.M. Matte discutent de l’écriture de leur premier livre avec Paul Savoie. (photo de Guillaume Garcia)

Le mois dernier, je participais à une table-ronde intitulée Comment j’ai écrit mon premier livre lors du Salon du livre de Toronto. J’ai partagé la scène avec trois auteurs « de la relève » et avec notre animateur, l’auteur Paul Savoie, mon mentor.

Nous avons discuté de notre processus de cogitation et d’écriture, de la révision et de l’édition, ainsi que de la particularité d’écrire en français en Ontario.

Lire un article de l’Express de Toronto au sujet de la table-ronde ici.

Belles rencontres au Salon du livre de Toronto

Quel privilège et quelle joie d’avoir été un auteur invité au Salon du livre de Toronto 2012. J’y ai rencontré des auteurs que j’admire – Marguerite Andersen, Lawrence Hill, Michèle Vinet – et y ai fait de belles découvertes – Sonia Lamontagne, Daniel Groleau Landry, Éric Charlebois.

A.M. Matte et Lawrence Hill, au Salon du livre de Toronto 2012

En tant que lectrice, c’était ravissant de pouvoir discuter des oeuvres appréciées avec leurs créateurs. En tant qu’auteur, mon expérience au Salon du livre n’a que ragaillardi mon envie d’écrire. J’ai bien des projets en perspective pour 2013!

A.M. Matte et Marguerite Andersen, au Salon du livre de Toronto 2012

 

Promotion du Salon du livre de Toronto

Lors du 20e anniversaire du Salon du livre de Toronto, du 5 au 8 décembre 2012 uniquement, je vous offre des copies gratuites de trois nouvelles, toutes d’abord publiées dans la revue littéraire Virages :

Sur le seuil. Virages. Suzanne Myre, éditrice. (août 2011). version pdf

À l’air. Virages. Marguerite Andersen, éditrice. (mai 2011). version pdf

Secrets. Virages. Marguerite Andersen, éditrice. (décembre 2010). version pdf

Bonne lecture – n’hésitez pas à m’en donner des nouvelles!

« Comment j’ai écrit mon premier livre » – partie 2

Le 8 décembre 2012 à 10 h 30, à la bibliothèque de référence de Toronto, en compagnie de Sonia Lamontagne, Daniel Groleau Landry, Karine Boucquillon et Paul Savoie, je participe à une table-ronde dans le cadre du 20e anniversaire du Salon du livre de Toronto, où nous discuterons de « Comment j’ai écrit mon premier livre ». En primeur, voici une idée de ce que je partagerai:

Puisque la rédaction de mon mémoire de maîtrise avait interrompu, pour plus de deux ans, l’écriture de mon roman « La face cachée du bonheur », j’ai eu recours à des professionnels pour me remettre sur la bonne piste.

D’abord, il y eut la coach Chala Dincoy-Flajnik, de Coach Tactics, qui m’a doucement poussée vers une méthodologie et un plan d’action qui convenait à mon horaire et à mon but ultime d’un roman complet rédigé en moins d’un an. Ensuite, grâce au soutien de l’Association des auteures et auteurs de l’Ontario français, j’ai pu travailler avec l’écrivain Paul Savoie sur la récriture du roman. Je discute plus longuement de ce processus ici.

Ces deux appuis ont fait en sorte que, plutôt que de prendre un autre dix ans, j’ai pu terminer mon manuscrit dans un délai de deux ans. J’ai ainsi une démarche à suivre pour mon prochain livre!

Au plaisir de vous voir au Salon…