Semaine littéraire

Ce fût une belle semaine littéraire pour moi –

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* j’ai lancé mon recueil de nouvelles en anglais, Where Pigeons Roost, disponible via Amazon et bientôt disponible via ce site web;

 

Des piles du livre Ce que l'on divulgue, avec l'image d'un visage féminin sur fond rouge

 

* j’ai reçu mes exemplaires de mon recueil de nouvelles en français, Ce que l’on divulgue, qui sera lancé le 7 décembre au Salon du livre de Toronto; et

 

Sur fond de la ville de Toronto, un livre est ouvert à la première page de la nouvelle Abîme par A.M. Matte

 

* j’ai obtenu ma copie du tout récent numéro de la revue littéraire Virages, dans lequel se trouve la traduction de ma nouvelle Abîme (également publiée en anglais dans Where Pigeons Roost).

 

Avec tout ce qui se passe, je trotte un peu sur des nuages et je n’ai rien écrit de nouveau, ni rien révisé, ni rien mis en page, depuis plusieurs jours.  Il y a les défis de la Zone d’écriture de Radio-Canada qui m’interpellent, ainsi que d’autres nouvelles qui exigent mon attention, alors je ne suis pas sans travail. Il faudrait que je m’y remette.

Après tout, ce n’est pas sans écrire que je continuerai dans cette lignée. À l’oeuvre!

Promotion du Salon du livre de Toronto

Lors du 20e anniversaire du Salon du livre de Toronto, du 5 au 8 décembre 2012 uniquement, je vous offre des copies gratuites de trois nouvelles, toutes d’abord publiées dans la revue littéraire Virages :

Sur le seuil. Virages. Suzanne Myre, éditrice. (août 2011). version pdf

À l’air. Virages. Marguerite Andersen, éditrice. (mai 2011). version pdf

Secrets. Virages. Marguerite Andersen, éditrice. (décembre 2010). version pdf

Bonne lecture – n’hésitez pas à m’en donner des nouvelles!

« Comment j’ai écrit mon premier livre » – partie 2

Le 8 décembre 2012 à 10 h 30, à la bibliothèque de référence de Toronto, en compagnie de Sonia Lamontagne, Daniel Groleau Landry, Karine Boucquillon et Paul Savoie, je participe à une table-ronde dans le cadre du 20e anniversaire du Salon du livre de Toronto, où nous discuterons de « Comment j’ai écrit mon premier livre ». En primeur, voici une idée de ce que je partagerai:

Puisque la rédaction de mon mémoire de maîtrise avait interrompu, pour plus de deux ans, l’écriture de mon roman « La face cachée du bonheur », j’ai eu recours à des professionnels pour me remettre sur la bonne piste.

D’abord, il y eut la coach Chala Dincoy-Flajnik, de Coach Tactics, qui m’a doucement poussée vers une méthodologie et un plan d’action qui convenait à mon horaire et à mon but ultime d’un roman complet rédigé en moins d’un an. Ensuite, grâce au soutien de l’Association des auteures et auteurs de l’Ontario français, j’ai pu travailler avec l’écrivain Paul Savoie sur la récriture du roman. Je discute plus longuement de ce processus ici.

Ces deux appuis ont fait en sorte que, plutôt que de prendre un autre dix ans, j’ai pu terminer mon manuscrit dans un délai de deux ans. J’ai ainsi une démarche à suivre pour mon prochain livre!

Au plaisir de vous voir au Salon…

« Comment j’ai écrit mon premier livre » – partie 1

J’ai été invitée à participer à une table ronde intitulée « Comment j’ai écrit mon premier livre » lors de la 20e édition du Salon du livre de Toronto le samedi 8 décembre 2012 à 10 h 30. Ce sera l’occasion pour moi non seulement de rencontrer deux poètes franco-ontariens, Sonia Lamontagne et Daniel Groleau Landry, mais aussi de partager le processus de création de mon roman, La face cachée du bonheur.

Lors de cette écriture, j’ai reconfirmé que je n’écris rien en isolement. On dit que le métier d’écrivain est solitaire et c’est vrai. Cependant, des amis, de la famille, des collègues et des gens que j’ai rencontrés outre-mer – ainsi que les histoires vécues avec eux ou entendues dans leurs accents variés – ont influencé le roman.

S’y infiltrent le physique d’un collègue Adonis (à son insu), les noms d’amies depuis perdues, des béguins non-réciproques, la description de la mère d’une camarade de classe… Le tout noué par les personnages issus de mon imagination.

Ces idées, qui ont flotté dans ma tête pour près de dix ans, ont pris du temps et de la discipline pour se coucher sur le papier. La semaine prochaine, quelques détails sur la démarche entreprise pour mener La face cachée du bonheur à bon port.

French Book Fair

I am excited to share that I have been invited to participate in the Toronto French Book Fair this year, as an emerging writer. I will be participating in a roundtable discussion on « How I wrote my first book », with poets Sonia Lamontagne and Daniel Groleau Landry.

Details about the French Book Fair (le Salon du livre de Toronto), which is celebrating its 20th anniversary this year, can be found here (French only).

Additionally, a local paper mentions my participation at the Book Fair and names me one of « Franco-Ontario literary grassroots authors » (auteur du terroir littéraire franco-ontarien). The article is here (French only).

I’m looking forward to sharing both in person on December 8th and online afterwards, how this experience is colouring my writing process.

Auteur « du terroir littéraire franco-ontarien »

Dans un article du Métropolitain de Toronto, Le Salon du livre a 20 ans, l’intrépide journaliste Raphaël Lopoukhine me classe parmi les « auteurs du terroir littéraire franco-ontarien ».

Commentaire d’une copine linguiste: « terroir?? Pas sûre ce que ça veut dire, appliqué à la littérature… »

Commentaire de mon frère, dont la conjointe vient de donner naissance à deux magnifiques fillettes: « Cool. Félicitations! Est-ce qu’on peut dire que [nos filles] sont des produits du terroir franco-ontarien? »

Je pourrai dire, au moins, que mon passage au Salon du livre de Toronto 2012 aura fait jaser…