Appui du Conseil des arts de l’Ontario

C’est avec joie et humilité que j’ai la chance de continuer de travailler mon roman La face cachée du bonheur grâce à l’appui du Conseil des arts de l’Ontario. Mes remerciements au jury! Je pourrai donc approfondir les aventures de Lucie, mère monoparentale cherchant à joindre les deux bouts, et de Zénithe, globe-trotter sans soucis, chasseuse de pantalons, et les trois différentes conclusions qui s’offrent à elles.

Eh oui, ce projet a trois « fins », qui constituent la deuxième partie du roman. En souhaitant que ces trois issues plaisent aux lectrices et lecteurs si jamais ce manuscrit trouve une maison d’édition dans un an!

Merci au CAO pour son appui à mon écriture!

Remerciements au Conseil des arts du Canada

C’est avec grand plaisir que je colle le message suivant à cet article:

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Nous remercions le Conseil des arts du Canada de son soutien. L’an dernier, le Conseil a investi 153 millions de dollars pour mettre de l’art dans la vie des Canadiennes et des Canadiens de tout le pays.

We acknowledge the support of the Canada Council for the Arts, which last year invested $153 million to bring the arts to Canadians throughout the country.

En effet, le Conseil des arts du Canada m’accorde une subvention pour le travail de développement d’une comédie musicale pour enfants, mettant en vedette un personnage vivant avec un handicap. C’est dans le cadre du programme Cultiver: appui aux artistes Sourds et handicapés que je reçois cette subvention, en tant qu’artiste malentendante.

Au cours de l’année 2016, je travaillerai avec une mentor afin d’accomplir ce travail. Hâte de m’y mettre!

 

Remerciements au Toronto Arts Council

Un énorme merci au conseil des arts de la ville de Toronto, le Toronto Arts Council, de l’appui qu’il vient d’accorder à mon écriture.

Grâce à une généreuse subvention, je pourrai consacrer du temps, l’été prochain, à l’écriture de la deuxième partie de mon roman La face cachée du bonheur.

Une mention de l’obtention de la subvention dans l’Express de Toronto:

LE TORONTO ARTS COUNCIL APPUIE DEUX AUTEURS FRANCOPHONES

LIVRES

Semaine du 29 septembre au 5 octobre 2015

Chaque année, le Toronto Arts Council reçoit des centaines de demandes pour des bourses d’écriture, tant d’auteurs émergents que d’auteurs établis. Pour le concours de 2015, le Conseil a reçu 342 demandes et octroyé 70 bourses pour un total de 498 000 $. Ariane Matte et Paul-François Sylvestre figurent parmi les heureux élus.

Pour ces bourses d’écriture, une catégorie générale regroupe les romanciers, nouvellistes, poètes, conteurs et essayistes; une autre catégorie réunit les dramaturges. Un premier niveau s’adresse aux auteurs en début de carrière (2000 $) et un second est ouvert aux auteurs établis (8 000 $).

Il y a eu 68 demandes, dont 14 ont été approuvées au niveau 1 et 9 au niveau 2. Aucun récipiendaire ici n’est de langue française.

Dans la catégorie générale des auteurs, il y a eu 274 demandes, dont 17 ont été approuvées au niveau 1 (4 000 $) et 33 au niveau 2 (10 000 $). Ariane Matte a obtenu une bourse de niveau 1 pour l’écriture d’un roman mettant en parallèle la vie de deux amies, une mère monoparentale et une chasseuse de pantalon. Paul-François Sylvestre a reçu une bourse de niveau 2 pour raconter l’histoire du Théâtre français de Toronto qui aura 50 ans en 2017.

http://www.lexpress.to/archives/15932/

 

Appui du Conseil des arts de l’Ontario

LOGO CAO 50e

 

Un grand merci au Conseil des arts de l’Ontario, qui m’a accordé une subvention pour travailler ma pièce de théâtre Pas de chicane dans ma cabane (titre provisoire). La pièce se passe simultanément en 1944 et en 2002, dans le même espace.

Viola, en 1944, et Capucine, en 2002, se retrouvent toutes deux seules et prises au dépourvu dans une vieille maison fermière d’un village à 300 km de route de la métropole d’où elles viennent. Viola, nouvellement mariée, vient de perdre la trace de son mari qui a été happé par la conscription; Capucine se remet d’une détérioration de couple suite aux attentats du 11 septembre à New York. En apprivoisant leur nouvel entourage, chacune des femmes apprend à s’adapter, à sa façon, à son entourage rural.

Puisqu’elles partagent le même endroit physique, Viola et Capucine se côtoient, mais n’interagissent pas. Cependant, elles se rendent compte qu’elles peuvent tout de même communiquer par écrit malgré le temps qui les sépare. Un troisième et un quatrième personnage, joués par une seule comédienne, servent de voisine et de meilleure amie des protagonistes, questionnant l’état d’esprit de Viola et de Capucine, qui s’imaginent une complicité d’une part avec une femme qui n’est pas encore née et d’autre part avec une femme qui doit être depuis quelque temps décédée.

Lors du travail de recherche artistique et d’écriture, je me questionnerai sur le pouvoir des mots, en particulier sur la puissance du monologue et la viabilité de textes suggérant un dialogue sans en être un. Ce sera un défi particulièrement intéressant de réfléchir aux paroles, aux mouvements et au positionnement des comédiennes qui jouent des personnages interagissant dans un même espace tout en transmettant l’idée que ces personnages ne sont pas dans cet espace physique en même temps.

Enfin, au-delà du travail d’écriture et de l’histoire que je veux conter, il m’est important de créer des personnages féminins pour la scène. Proportionnellement, il y a encore trop peu de rôles pour femmes au théâtre; ma pièce en propose quatre de plus.

Merci encore au Conseil des arts de l’Ontario pour cet appui à mon écriture.