I participated in the Wordjammin’ 2015 event a few weeks ago, during which independent authors share their wares, so to speak, during an afternoon of public readings.
As always, I had great fun reading an excerpt from my short story Where Pigeons Roost and, in homage to my grandmother, my short nonfiction piece Countdown, which chronicles my family’s encounter with Alzheimer’s Disease.
My husband and four-year-old son were also in attendance, which made the event even more special to me.
For more information about Wordjammin’: http://www.wordjamm.com/authors-bios.html.
* j’ai obtenu ma copie du tout récent numéro de la revue littéraire Virages, dans lequel se trouve la traduction de ma nouvelle Abîme (également publiée en anglais dans Where Pigeons Roost).
Avec tout ce qui se passe, je trotte un peu sur des nuages et je n’ai rien écrit de nouveau, ni rien révisé, ni rien mis en page, depuis plusieurs jours. Il y a les défis de la Zone d’écriture de Radio-Canada qui m’interpellent, ainsi que d’autres nouvelles qui exigent mon attention, alors je ne suis pas sans travail. Il faudrait que je m’y remette.
Après tout, ce n’est pas sans écrire que je continuerai dans cette lignée. À l’oeuvre!
J’écris en français et en anglais et, au cours des prochaines semaines, je lance deux recueils de nouvelles, un en anglais, Where Pigeons Roost, et un en français, Ce que l’on divulgue.
S’exprimer en plus d’une langue a plusieurs avantages, tel que l’ont indiqué diverses études, dont celle-ci et celle-ci. En plus des avantages cognitifs, tels qu’une concentration et une créativité accrues et le ralentissement du vieillissement du cerveau, parler plus d’une langue peut aussi être avantageux du côté économique.
Et pour une auteur, l’habileté de pouvoir créer en plus d’une langue permet une étendue plus large d’expression – et de public.
Pour ma part, un autre avantage: être invitée à discuter en français de mon recueil en anglais. Le résultat: cette entrevue à Radio-Canada sur Where Pigeons Roost.
Reste à voir si un réseau anglophone voudrait bien discuter en anglais au sujet d’un recueil en français – je vous en donnerai des nouvelles.
What better spot than a wing place to launch a book boasting a pigeon on its cover?
On Wednesday, November 20th, 2013, from 5:30 p.m. to 7 p.m., please join me as I launch my short collection of stories, Where Pigeons Roost, at Wild Wing, 431 Yonge Street in Toronto, just south of College subway station.
Those attending the launch will get half price appetizers with the purchase of a drink, and a copy of the book for over 10% off the cover price.
Very excited to announce that I have approved the proof of my short story collection, and that Where Pigeons Roost and other stories is now available through me and through Amazon!
In Where Pigeons Roost, four women trapped in worlds of their own making journey between obsession and redemption.
« Feather and Gaelyn reached the foyer, not yet knowing that each would remain disappointed by her life while being secretly pleased her twin would fare no better. They did not yet know that their final competition – whom would outlive the other – would be moot, the winner forever undeclared. » – Excerpt from Stalemate, from Where Pigeons Roost
The book’s official launch will be held in November in Toronto, Canada. Details to follow!
I would like to thank the lovely audience of the Who You Calling Crazy? reading last week. It was the success for which our writers’ group had hoped:
We performed our pieces brilliantly (if I do say so myself), were accompanied by great music, and collected 200$ for the Child Development Institute. We even got coverage in one of the local papers (in French), Le Métropolitain.
Our group will plan another public reading in 2014, and in the meantime, we will be working on new pieces of fiction, creative non-fiction and poetry.
Demain, j’aurai le plaisir de participer à une séance de lecture pendant laquelle je lirai des extraits de mes nouvelles Where Pigeons Roost et A Treat.
Le tout se déroule le 3 octobre au Free Times Café à Toronto, dès 19h30, et sert non seulement de tribune aux auteurs qui liront leurs textes, mais aussi de levée de fonds pour le Child Development Institute.
Bien que j’aie hâte à la séance de lecture, ce n’est non sans ressentir un tantinet de nervosité. Voici quelques conseils que j’ai recueilli et retenu afin de faire de toute séance de lecture un succès sans pareil:
1) Choisir un extrait du texte à lire qui représente bien le style de l’auteur, tout en s’assurant de ne pas trop révéler l’histoire.
2) Porter des habits confortables qui représentent, eux aussi, le style de l’auteur.
3) Préparer une courte introduction et/ou de courtes transitions pour bien situer les lecteurs/le public dans l’action de l’extrait.
4) Imprimer en gros caractères et/ou à double interligne une copie de l’extrait qui sera lu. Dans le cas d’une lecture à partir d’un livre, bien étiqueter les pages afin d’éviter un temps mort à fouiller pour le prochain extrait à lire.
5) Prendre le temps de pratiquer la lecture à haute voix. Il est également bon de se chronométrer afin de s’assurer de présenter la bonne longueur d’extrait.
6) Varier le débit de la lecture. En moyenne, lorsque l’on est nerveux, l’on a tendance à accélérer le débit. Donc, une façon de bien lire est de ralentir. Par contre, là où des passages de haute tension le demandent, il peut être intéressant pour le public si l’auteur lit un peu plus vite.
Pour des conseils en anglais reliés aux séances de lecture, lisez à l’article A Reading Is A Performance.